éphémère : (adj) très court, qui ne dure pas.
dupe : (adj) être dupe, c'est se laisser tromper.
expansion : (n. f.) 1- croissance, développement, essor. 2- mot ou groupe de mots qui accompagne un autre mot dont il dépend.
pérorer : (v) parler d'une manière très prétentieuse.
rogaton : (n.m.) objet de rebus ou reste de repas.
terrasser : (v) jeter à terre ou faire mourir brusquement.
victuailles : (n.f.) nourriture, provisions.
compassion : (n.f.) sentiment qui fait partager les peines des autres.
furtivement : (adv) de manière discrète et rapide.
asséner : (v) donner un coup avec violence.
35 kilos d'espoir
p. 58 : Je n'ai rien d'extraordinaire à vous raconter à propos de ce mois d'août. Je l'ai juste trouvé bien long et bien ennuyeux. Comme tous les ans, mes parents avaient loué un appartement en Bretagne et, comme tous les ans, j'ai dû remplir des pages et des pages de cahier de vacances.
La ballade de Cornebique
p. 21 : C'est un torchon de cuisine bien ventru avec les quatre coins noués serré. Cornebique doit se servir de ses dents pour défaire le nœud. A l'intérieur il y a une petite couverture en laine roulée en boule. Un papier plié en quatre s'en échappe. Le vent l'emporte. Cornebique court après et pose le pied dessus.
p. 64 : Ils repassent devant la tribune d'honneur sous les acclamations effrénées du public. Un peu plus loin, on a installé au bord du chemin une table couverte de timbales remplies d'eau fraîche. Il en attrape une et la porte à ses lèvres. Il crève de soif. Et il continuera à crever de soif le tour suivant puisque sa timbale vole dans les airs.
p. 114 : Ah, pour être joli, c'est joli ! Personne ne dira le contraire. Des prairies vertes, des fleurs rouges, des lacs bleus, des nuages blanc ivoire. Pas de doute : chaque chose a la couleur qui convient. Cornebique et Lem respirent le bon air à pleins poumons. La route s'élève en lacets élégants, et à chaque virage ils en prennent plein les mirettes.
p. 165 : Le Bouc Cornebique et le Coq Adolphino Lem jouent des flûtes. Depuis le tampon administré à la pauvre Astrid, ils savent que le temps leur est compté. Il ne s'agit plus de faire les touristes. La chasse à courre est ouverte : taïaut ! taïaut ! et le gros gibier, c'est eux !
Le ciel nous appartient
p. 63 : Le voyage ne fut pas de tout repos. Sans doute était-ce le cas de la plupart des voyages, mais le fait de fuir le pays illégalement et en plein jour corsait l'aventure.
- Voyageons léger, suggéra Charles, au cas où quelqu'un nous verrait partir. Faisons simplement comme si nous allions chez le dentiste.
p. 104 : A Paris, les nuits étaient plus calmes qu'à Londres, et pourtant Sophie était incapable de trouver le sommeil. Dans son lit, elle aurait pu lire à la clarté de la lune tant celle-ci brillait fort, mais elle se contentait de regarder fixement les pages de son roman, sans en voir les mots.
Le secret de grand-père
p. 22 : Et comme ça, il est parti pour la France. Parti pour l'armée à quatorze ans.
Mais il y avait des millions d'hommes, là-bas, et des millions de chevaux aussi. Une aiguille dans une botte de foin, tu dois te dire, et tu as bien raison. Il a passé trois ans à chercher Joey, mais il n'a jamais abandonné. Le plus dur, c'était de rester en vie.
p. 78 : C'était prévu pour le 6 novembre. Je m'en souviens, car la veille était un soir de fête, et comme d'habitude, tout le monde avait allumé des feux de joie partout. J'avais regardé Père affûter le soc de la charrue une dernière fois et je pouvais voir le feu venant de la grande maison en haut de la colline se refléter dans la lame argentée du soc.
Momo, petit prince des Bleuets
p. 93 : Momo reste silencieux. Il en veut à Souad de lui avoir dit tout ça. Il aurait préféré ne pas savoir. Elle aurait dû garder ce secret-là pour elle. Puis il se dit que ses pensées sont injustes. Que Souad ne voulait pas lui faire de la peine mais le traiter comme un grand garçon.
Momo des Coquelicots
p. 26
p. 96 : Momo s'applique, tire la langue. Il veut que ce soit bien écrit et sans fautes. On n'écrit pas à un ancien instituteur de la République avec des fautes d'orthographe. Il est tellement absorbé qu'il ne prête plus la moindre attention à ce qui se passe autour de lui et ne remarque donc pas que la télévision s'est éteinte.
Maitre,vous n'avez mis la dictée de tobie lolness 2 p.308 sur le blog.
RépondreSupprimerLora
pas mis*
RépondreSupprimerLora🙄
368*, pardon
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